20 nov. 2009
15 nov. 2009
25 oct. 2009
19 oct. 2009
Octobre
Vent du nord et pluie glacée. On sort les manteaux, les bottes et les écharpes gigantissime.
On rêve à une nouvelle garde-robe et ont attend les prochains gros évènements.
Parmi eux, la collaboration Jimmy Choo/H&M qui nous fait languir depuis l'été. Jimmy Choo. Enseigne mythique en matière de talons hauts. Des références clairsemées de Carrie Bradshaw, aux chansons de Prince et Chester French... Sa renommé n'est plus à remettre en question. On comprend alors l'impatience, l'enthousiasme qui entoure cette date fatidique: le 14 novembre.
A savoir: cette collection ne sera en France, disponible que dans 5 villes: a Bordeaux, Marseille, Nice, Lille, Lyon et Paris et dans 9 magasins (dont 4 à Paris.. pas de surprises.) Maintenant, le détail qui tue: les stocks sont limités, très limités.
Aux 160 premières (premiers?!) arrivées, sera offert un bracelet qui leur donnera accès à l'espace chaussures, sacs et accessoires Jimmy Choo. Et pour la 161ème et celles qui suivront? Espérez qu'il en reste des miettes.
En vous laissant élaborer vos plans de campements devant votre enseigne H&M, et revoir vos stratégie pugilistique... voici ce qui vous attend:
Et mon hymne de guerre de ces derniers temps pour finir:
Spy - Beat Assailant
11 sept. 2009
Septembre.
Reprise des cours, de la vie trop chargée... à traîner dans la rue sans voir les heures tournée. Alors j'ai pas le temps. Pas le temps pour ce que je dois faire, et encore moins pour un projet que j'ai beaucoup de mal à mener en fait.
Que sera, sera.
Que sera, sera.
17 août 2009
Don't stop 'til you get enough
I got a job this month, and will not udpade the blog for long times.
I leave you with this editorial of September's Harper's Bazaar, a tribute to Michael Jackson, with Agyness Deyn
(source:thephotographylink.com)
7 juil. 2009
Un prince à New York
Sortie 1988, Un Prince à New York raconte l'histoire d'un richissime prince de Zamunda à la recherche de l'amour de sa vie, dans la bien nommée ville du Queens. Avec de jeunes Eddie Murphy et Lionel Richie.
Mais ce n'est pas le synospsis du film (pas mal soi dit en passant...) qui nous intéresse. Le fait est qu'après un visionnage à notre belle époque, on ne peux s'empêcher de remarquer quelque chose, un détail qui aurait pu paraître ridicule il y a encore 9 ans: le style vestimentaire des protagonistes. Parce que oui, on parle des 80's, de l'association du rose pâle et du vert pâle, des permanentes et des mulets. La décennie qu'on a longtemps considéré comme une faute de goût à elle toute seule, une dérive et une erreur de style. Pourtant, on y reviens. Il suffit de revoir les films de cette époque. Et dans Un Prince à New York, c'est un défilé de crops-tees, de couleurs vives, de motifs léopards, de rayures... Si ça, ça ne vous inspire rien d'actuel!
En plus d'être, à mon humble avis, un film de bonnes influences pour les fashionistas aujourd'hui (même si, oui, je remettrais en question le bien fondé d'un manteau aussi large, aussi...), j'aime ce film pour toutes ces références à l'Afrique, tous le luxe qui l'entoure. Des pierreries, des bijoux aux fourrures (j'suis pas forcément pour la vrai fourrure. Seulement dans ce film, ces lions et ces panthères inspire une puissance masculine, un statut important. Elles sont içi bien portées et on regrette qu'elles ne soit pas synthétique.), en passant par la danse qui introduit le film, c'est quelque chose de charmant. Et sans être si dépaysant, il m'inspire une plus grande curiosité pour tous ce qui peut se rattacher aux différentes cultures africaines.
C'est donc une redécouverte et un coup de cœur.
Preuves en images: (images cliquables, pour voir en UN PEU plus grand)
Mais ce n'est pas le synospsis du film (pas mal soi dit en passant...) qui nous intéresse. Le fait est qu'après un visionnage à notre belle époque, on ne peux s'empêcher de remarquer quelque chose, un détail qui aurait pu paraître ridicule il y a encore 9 ans: le style vestimentaire des protagonistes. Parce que oui, on parle des 80's, de l'association du rose pâle et du vert pâle, des permanentes et des mulets. La décennie qu'on a longtemps considéré comme une faute de goût à elle toute seule, une dérive et une erreur de style. Pourtant, on y reviens. Il suffit de revoir les films de cette époque. Et dans Un Prince à New York, c'est un défilé de crops-tees, de couleurs vives, de motifs léopards, de rayures... Si ça, ça ne vous inspire rien d'actuel!
En plus d'être, à mon humble avis, un film de bonnes influences pour les fashionistas aujourd'hui (même si, oui, je remettrais en question le bien fondé d'un manteau aussi large, aussi...), j'aime ce film pour toutes ces références à l'Afrique, tous le luxe qui l'entoure. Des pierreries, des bijoux aux fourrures (j'suis pas forcément pour la vrai fourrure. Seulement dans ce film, ces lions et ces panthères inspire une puissance masculine, un statut important. Elles sont içi bien portées et on regrette qu'elles ne soit pas synthétique.), en passant par la danse qui introduit le film, c'est quelque chose de charmant. Et sans être si dépaysant, il m'inspire une plus grande curiosité pour tous ce qui peut se rattacher aux différentes cultures africaines.
C'est donc une redécouverte et un coup de cœur.
Preuves en images: (images cliquables, pour voir en UN PEU plus grand)
8 juin 2009
cotton.ink
cotton.ink, une "petite marque avec de grands rêves", apparue en novembre 2008 en Indonésie. Son credo: nous offrir des fringues stylées et abordable, et réaliser leur rêve d'une mode, toute d'individualité et révélatrice d'une véritable identité.
Leur collection est composée de pièces assez basiques, tee-shirt, écharpe et même chaîne. Tout en cotton, elle sont confortable, vous donne l'air à l'aise, voire cool (ouai.). C'est une collection pleine d'originalité, des bonnes idées. On relève un bel effort de créativité qui n'est pas sans prendre éxemple sur des tendances du moment: l'acid wash, la fringue lacérées (exemple du KREY SHAWL ci-dessous), le crop tee-shirt, une myriades de chaînes argenté qui pendent à votre cou...
Très jeune, la marque n'offre pas encore un choix très varié, mais ce qu'on nous met sous les yeux est déjà pas mal et on attend, avec une certaine curiosité, de la voir grandir.
C'est stylé, assez grunge, sans être limite. Chez cotton.ink, tout est très accessible, tant par le style que par le prix. Surtout quand on sait que la plus chère des pièces fait dans les 129 000 roupies indonésiens. Ou 9€15...
Reste encore à évaluer les frais de port?...
Leur collection est composée de pièces assez basiques, tee-shirt, écharpe et même chaîne. Tout en cotton, elle sont confortable, vous donne l'air à l'aise, voire cool (ouai.). C'est une collection pleine d'originalité, des bonnes idées. On relève un bel effort de créativité qui n'est pas sans prendre éxemple sur des tendances du moment: l'acid wash, la fringue lacérées (exemple du KREY SHAWL ci-dessous), le crop tee-shirt, une myriades de chaînes argenté qui pendent à votre cou...
Très jeune, la marque n'offre pas encore un choix très varié, mais ce qu'on nous met sous les yeux est déjà pas mal et on attend, avec une certaine curiosité, de la voir grandir.
C'est stylé, assez grunge, sans être limite. Chez cotton.ink, tout est très accessible, tant par le style que par le prix. Surtout quand on sait que la plus chère des pièces fait dans les 129 000 roupies indonésiens. Ou 9€15...
Reste encore à évaluer les frais de port?...
KREY SHAWL
9 mai 2009
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